Le Monde qui reste

Pierre Vergely raconte son père Charles Vergely, résistant, arrêté par la police militaire allemande le 10 mars 1941, torturé et condamné à mort, transféré de la prison du Cherche-Midi à Fresnes, puis aux camps Rheinbach, Ludwigsburg et Dachau.
Devenus résistants motivés par le comportement des allemands avec la population, sept jeunes condamnés à mort se retrouvent précipités dans l’âge d’homme.
C’est le récit de toute une humanité qui se brise contre les barreaux ; de jeunes hommes livrés à des geôliers impitoyables en tenaille entre des murs où les droits sont abolis par la férocité.

L’auteur met en avant leur courage ; leur combat pour une liberté décente. Quel salut dans ces conditions effroyables détaillées avec parcimonie, dans la chronologie des faits ? La fin est-elle inéluctable ?

Quelques lueurs d’espoir par la persévérance, la fraternité, les américains ?
Une souris ?
Une cigarette de la paix ?

Quelle vie après les ténèbres de l’enfer ?

« Quel est le libre le plus court du monde ? Une anthologie de blagues allemandes »
« Tout a une fine, accepte ton sort et ne désespère pas »