La Cité diaphane

\- 2022 a été une année riche pour Argyll : le succès de Un pays de fantômes,
la demande record de SP pour Eutopia, de multiples cessions poches (J'ai Lu et
Pocket), plusieurs tournées en librairies, etc. Néanmoins, après deux ans
d'existence, les éditions Argyll comptent passer un nouveau cap en 2023 avec
l'arrivée au catalogue de livres marquants et forts, ainsi que de nombreuses
autrices, des têtes connues (Anne Fakhouri, Floriane Soulas) comme des primo-
romancières (Anouck Faure). Et cela commence dès février ! \- Il s'agit du
premier manuscrit accepté par mail depuis la création des éditions Argyll il y
a 2 ans. Le verdict était unanime : il FAUT publier ce roman !! (nous avons
appris depuis que Denoël et la Volte auraient bien voulu le faire) \- C'est le
premier roman d'Anouck Faure, une jeune autrice originaire de Nouvelle-
Calédonie, dont le nom n'est pas inconnu puisqu'elle travaille comme
illustratrice auprès de nombreux éditeurs : Albin Michel, Bélial, Denoël,
Gallimard, La Volte, etc. \- Pour l'occasion, Anouck Faure a d'ailleurs
réalisé dix gravures représentant autant de scènes importantes de l'histoire,
et qui sont reproduites à l'intérieur du roman en noir et blanc (CF fichiers
joints). \- La Cité diaphane est un roman de fantasy gothique qui, par son
ambiance et son style, rappelle aussi bien les jeux de From Software (Dark
Souls, Elden Ring) que les romans de Michael Moorcock (Elric). -Difficile de
parler de l'histoire tant elle réserve à son lecteur des surprises, et très
tôt avec ça. On suit les pas de l'archiviste royal qui arrive à Roche-Étoile
afin d'y découvrir ce qui s'y est passé. En effet, autrefois merveille
architecturale et cité sainte, Roche-Étoile n'abrite plus désormais que des
eaux mortelles et des ombres. Si un drame s'y est joué, d'autres s'y jouent
encore... L'archiviste n'est pas au bout de ses surprises, et le lecteur non
plus. \- La Cité diaphane s’inspire du roman gothique par son cadre de conte
de fée sombre, par ses récits à la temporalité emboîtée et par ses personnages
aux pulsions démesurées. En toile de fond, c’est l’obsession très humaine de
la perpétuation et de l’identité qui se dessine. La création la plus débridée,
l’accumulation de connaissances et de puissance, jusqu’à la destruction : tous
les moyens deviennent bons devant le désir écrasant d’exister et de laisser
son empreinte. \- L'autrice habite à Paris, dans la 14e arrondissement
(disponible pour dédicace). \- A ce titre, une tournée de dédicaces est prévue
dans de nombreuses librairies et salons français entre février et juin. \- SP
envoyés en novembre. \- Impression d'un ex-libris numéroté et dédicacé pour
les libraires qui en feront la demande. Née en Nouvelle-Calédonie, Anouck
Faure est une artiste plasticienne aux multiples talents : illustratrice de
couvertures (Albin Michel, Denoël, La Volte), elle a sorti en octobre un album
jeunesse "Les éléphants sans pattes" chez Alice Jeunesse. Elle vit à Paris,
dans le 14e arrondissement. La Cité diaphane, son tout premier roman, est une
fantasy gothique et torturée, ponctuée de nombreux rebondissements, où la
démesure des décors n’a d’égal que l’orgueil et la folie des hommes.