Un hommage à 60 photographes internationales
Ces femmes ont transformé la photographie, de ses pionnières aux figures contemporaines. Elles ont défié les normes et redéfini la photographie avec talent et audace !
Une immersion vertigineuse dans l’un des chapitres les plus dramatiques de l’histoire scientifique et humaine : la naissance de la bombe atomique
Avec une écriture en vers, l’auteur nous entraîne aux côtés de brillants physiciens hongrois, fuyant les horreurs de l’Europe nazie pour rejoindre Robert Oppenheimer, le futur père de la bombe. Leurs recherches acharnées, leurs luttes intérieures et leur vision du monde s'entrelacent dans un tourbillon de poésie et de tension. Massini dépeint, avec une empathie saisissante, ces figures dévorées par le dilemme moral de leur invention, entre génie scientifique et angoisse existentielle. Chaque page est une explosion de pensées contradictoires, où l’humain et la guerre nucléaire se rencontrent dans une danse infernale.
Une lecture à la fois brûlante et fascinante, qui interroge la nature de la science, du pouvoir et de la responsabilité.
Un polar psychologique puissant, où l’enquête sur un meurtre révèle peu à peu la violence d'une relation père-fils toxique
C'est la première fois que Benoit Severac met en scène Cérisol et ses collègues, des flics ordinaires et humains, qui cherchent à comprendre ce qui a poussé un fils à commettre l’irréparable.
Tuer le fils est un roman captivant qui va au-delà de l’enquête criminelle pour explorer les recoins sombres de l’âme humaine. Il interroge le père, le fils, et la quête d’admiration et d’amour qui peut mener à des actes irréparables. Avec des personnages profondément humains, une construction psychologique soignée et une écriture fluide, Benoît Séverac offre un polar à la fois intense, émouvant et perturbant.
Un incontournable pour les amateurs de romans noirs
Dans les montagnes de l’Arkansas, l’amour et la vengeance se heurtent dans un tourbillon impitoyable. Jeremiah Fitzjurls, vétéran du Vietnam, vit isolé avec sa petite-fille Joanna, élevée dans le secret et la survie. Mais lorsque cette dernière disparaît, tout bascule. Soupçonnant l’implication d’une famille criminelle locale, Jeremiah se lance dans une quête désespérée, plongée dans l’obscurité des Ozarks, un monde où justice et brutalité ne laissent aucune place à la pitié. À la croisée du thriller et du roman noir, Chiens des Ozarks nous emporte dans une fresque saisissante de violence, de trahison et de liens familiaux indestructibles. Dans un décor aussi sauvage que l’âme des personnages, Eli Cranor dépeint un univers où chaque décision a un prix, et où les ténèbres du passé n’épargnent personne. Un roman brut, puissant et implacable, qui interroge la justice et la survie, et ne vous laissera pas indemne.
Une méditation intime et universelle sur la transmission et l’amour
C’est à l’été 2020, alors que le monde est à l’arrêt et que les vies se retrouvent suspendues dans l’incertitude, que trois sœurs retournent dans le verger familial du Michigan pour cueillir des cerises. Le paysage, empli de la nostalgie de leur enfance, devient un cadre parfait pour une réflexion profonde sur la vie, l’amour et les liens familiaux. Là, elles demandent à leur mère, Lara, de leur raconter son idylle avec Peter Duke, un acteur célèbre avec lequel elle a partagé une passion fulgurante à l’âge de vingt-quatre ans. Cet été-là, les filles prennent conscience que ce qu’elles pensaient savoir sur leur mère et leur famille n’est que la surface d’une vérité bien plus complexe.
Loin de ne raconter qu’un amour de jeunesse, Un été à soi interroge sur ce que nous transmettons à nos enfants – ce qu’ils retiennent, ce qu’ils ignorent, et ce que nous nous efforçons de cacher. Cet épisode réflexif permet à Lara de se confronter à ses propres regrets, et aussi de se réjouir de la route qu’a pris sa vie et de la force de sa famille. C’est l’amour qui est au cœur de ce récit : l’amour passionnel et celui qui se transforme avec les années, l’amour filial et l’amour sororal.
Le titre en français Un été à soi fait écho à celui d’Une chambre à soi de Virginia Woolf : les deux livres pointent la nécessité de s'approprier un espace intime – un espace mental, émotionnel, physique – pour se redécouvrir, pour se réapproprier son histoire, pour s’exprimer, pour transmettre, et, ce n’est pas anodin, dans le roman, cette transmission se fait à ses trois filles… Cet été est en quelque sorte un retour à soi, qui peut être perçu comme une chambre à soi symbolique, où l’on prend le temps d’examiner ses choix passés et de comprendre ce que l’on a transmis à ses enfants. Ce moment de pause et de réflexion, au cœur de l’isolement imposé par la pandémie, peut être vu comme une occasion pour Lara de se « retrouver » après des années de vie partagée avec sa famille, ses enfants, et les autres.