Anne-Lise D.

Conseillé par (Libraire)
25 août 2017

Tout simplement jubilatoire

Extrêmement drôle et savoureux, La fonte des glaces raconte l’histoire d’un ancien boucher toulonnais qui découvre, se passionne pour manchot empereur (et les icebergs) et devient l’icône de la cause écolo.
Tout simplement jubilatoire !

Joël Baqué

P.O.L.

Conseillé par (Libraire)
25 août 2017

Tout simplement jubilatoire

Extrêmement drôle et savoureux, La fonte des glaces raconte l’histoire d’un ancien boucher toulonnais qui découvre, se passionne pour manchot empereur (et les icebergs) et devient l’icône de la cause écolo.
Tout simplement jubilatoire !

Conseillé par (Libraire)
25 août 2017

Un grand moment de plaisir

Éloge du frère, l’autre, peut-être bien le plus courageux des deux, Ils vont tuer Robert Kennedy est un roman tout à fait formidable sur l’Amérique des années 60, le clan Kennedy et l’histoire familiale du narrateur ; un universitaire persuadé que la mort de ses parents est intimement liée aux Kennedy.
Construction brillante et peinture magistrale de l’époque, ce texte est un grand moment de plaisir !
PS : mention spéciale pour la toute fin du roman assez épatante.

Conseillé par (Libraire)
25 août 2017

Un grand moment de plaisir

Éloge du frère, l’autre, peut-être bien le plus courageux des deux, Ils vont tuer Robert Kennedy est un roman tout à fait formidable sur l’Amérique des années 60, le clan Kennedy et l’histoire familiale du narrateur ; un universitaire persuadé que la mort de ses parents est intimement liée aux Kennedy.
Construction brillante et peinture magistrale de l’époque, ce texte est un grand moment de plaisir !
PS : mention spéciale pour la toute fin du roman assez épatante.

Philippe JAENADA

Julliard

Conseillé par (Libraire)
25 août 2017

Formidable !

Évoquant le triple meurtre d’Escoire, Philippe Jaenada fait un travail d’archives impressionnant. Enquêteur hors-pair (un rien obsessionnel), il a eu plus d’une bonne dose d’humour à revendre et ses digressions (son fils, sa femme, le bistrot du coin ou le dernier Tanguy Viel) sont des respirations essentielles à la compréhension de l’enquête et au rythme du récit.
Le portrait d’Henri Girard devenu Georges Arnaud (Le salaire de la peur) est tout simplement formidable. Et il ressort de cette lecture que Jaenada a, envers et contre tout, une foi absolue en l’homme.