Fatum

Sylvie Callet

Caïman

  • Conseillé par
    27 novembre 2023

    société

    J’ai aimé qu’il n’y ai pas dans ce roman noir de repères spatiaux ni temporels. Ce récit aurait pu se dérouler n’importe où en France.

    J’ai aimé le parler wesh des ados, compréhensible et parfois sous-titré, en opposition avec le récit en italique de chaque débit de chapitre, au registre soutenu.

    J’ai adoré les titres de romans glissés dans la narration : Feu pâle de Nabokov a été mon préféré.

    J’ai aimé le leitmotiv de l’ombre dont le champ lexical est développé dans tout le roman.

    J’ai aimé que les prénoms des personnages commencent tous par S, comme la première lettre du prénom de l’autrice.

    Je ne vous ai pas parlé de l’histoire ? Je vous laisse la découvrir.

    L’image que je retiendrai :

    Une odeur plutôt, celle du patchouli dont s’asperge une des filles, mais qui vire sur sa peau.