- EAN13
- 9782092536124
- Éditeur
- Nathan
- Date de publication
- 09/02/2012
- Collection
- Romans Poche
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Ascenseur pour la peur
Les désastreuses aventures des Orphelins Baudelaire, Tome 6
Snicket Lemony, Lemony Snicket
Nathan
Romans Poche
Autre version disponible
-
Papier - Nathan 7,50
La série culte !
Après le désolant épisode du collège, tout paraît s'arranger pour les
orphelins Baudelaire : les voici de retour dans leur ville natale, où un
couple chic et fortuné, Jérôme et Esmé d'Eschemizerre, vient de les adopter.
Violette, Klaus et Prunille vont-ils trouver le bonheur au 667, boulevard
Noir, à quelques rues seulement de leur ancien quartier ? Las ! les choses
s'annoncent mal : pour gagner l'appartement où on les attend, au dernier étage
(est-ce le 48e ou le 84e étage ? Le portier ne se souvient jamais !), il leur
faut gravir un interminable escalier à vis, chichement éclairé par des
bougies. Car, dans ce quartier huppé, on suit de près la mode et tout ce qui
est in et out. Or, ces temps-ci, les ascenseurs sont out et les lumières
aussi. En revanche, les orphelins sont in, mais est-ce une si bonne nouvelle ?
Un appartement grandelet - soixante-et-onze chambres et autant de salles de
séjour, salles à manger, salles à digérer, salles de bal, salles de bains et
salles sans destination apparente ; un tuteur bien-gentil-mais ("Je ne
discuterai pas" est sa devise) ; une tutrice femme d'affaires, in jusqu'au
bout des ongles... N'en disons pas plus, si ce n'est qu'on trouvrera aussi :
une cage dans une cage ; pas mal de vertiges ; triple dose de noirceur,
ténèbres, obscurité (bien que la lumière redevienne in dès le deuxième
chapitre) ; une brève -et dramatique- réapparition des enfants Beauxdraps ; un
souterrain secret, guère éclairé non plus ; et une bonne louchée de
trompe-l'œil, faux-semblants, artifices, comte Olaf, leurres et duperies, tous
ces termes étant plus ou moins synonymes. Bref, une histoire de faux. Et un
épisode vertigineux, brillant et sombre comme un diamant noir.
Après le désolant épisode du collège, tout paraît s'arranger pour les
orphelins Baudelaire : les voici de retour dans leur ville natale, où un
couple chic et fortuné, Jérôme et Esmé d'Eschemizerre, vient de les adopter.
Violette, Klaus et Prunille vont-ils trouver le bonheur au 667, boulevard
Noir, à quelques rues seulement de leur ancien quartier ? Las ! les choses
s'annoncent mal : pour gagner l'appartement où on les attend, au dernier étage
(est-ce le 48e ou le 84e étage ? Le portier ne se souvient jamais !), il leur
faut gravir un interminable escalier à vis, chichement éclairé par des
bougies. Car, dans ce quartier huppé, on suit de près la mode et tout ce qui
est in et out. Or, ces temps-ci, les ascenseurs sont out et les lumières
aussi. En revanche, les orphelins sont in, mais est-ce une si bonne nouvelle ?
Un appartement grandelet - soixante-et-onze chambres et autant de salles de
séjour, salles à manger, salles à digérer, salles de bal, salles de bains et
salles sans destination apparente ; un tuteur bien-gentil-mais ("Je ne
discuterai pas" est sa devise) ; une tutrice femme d'affaires, in jusqu'au
bout des ongles... N'en disons pas plus, si ce n'est qu'on trouvrera aussi :
une cage dans une cage ; pas mal de vertiges ; triple dose de noirceur,
ténèbres, obscurité (bien que la lumière redevienne in dès le deuxième
chapitre) ; une brève -et dramatique- réapparition des enfants Beauxdraps ; un
souterrain secret, guère éclairé non plus ; et une bonne louchée de
trompe-l'œil, faux-semblants, artifices, comte Olaf, leurres et duperies, tous
ces termes étant plus ou moins synonymes. Bref, une histoire de faux. Et un
épisode vertigineux, brillant et sombre comme un diamant noir.
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